Après la mère, la fille.....

Cette petite minette vient de nous quitter à l'âge de 7-8 mois de Pif humide abdominale concluant une Pif sèche débutée après les vaccinations en octobre dernier (coryza-typhus-chlamydiose). Point de repère : passage fiévreux de 2/3 jours puis diarrhée chronique ininterrompue suivie d'amaigrissement modéré. La Pif sèche (évoluée sur 4 mois) est signée par une multitude de minuscules granulomes un peu partout sur le foie, les péritoines, epiploon et mésentère. Cette petite a donc rejoint sa mère DCD le 16 décembre. lien direct.

Pas de photos d'autopsie, suis trop dégoutée.....Les deux autres chatons vont bien et viennent d'être stérilisés.
Mes réflexions personnelles sont que cette petite famille de 4 chats qui était en quarantaine et n'avait eu aucun contact avec les autres chats a "perdu" 50 %  de son effectif par la Pif en quelques semaines suite à un ou des stress dont je placerai en tête la simple vaccination, comme je l'ai déjà constaté à de nombreuses reprises au point que j'en étais arrivée à suspendre les vaccinations au moindre doute, ce qui pose évidemment d'autres problèmes par ailleurs dans un tel effectif; inutile de dire que je ne suis pas contre la vaccination, mais plutôt contrainte à choisir entre deux solutions non satisfaisantes. Si je reprends l'exemple des 18 chatons et 4 mères rentrés en 2010: après la 1ère injection du 1er chaton à son arrivée et suite au déclanchement d'une diarrhée modérée, j'ai décidé de ne vacciner personne de ce groupe. Aucun test corona n'a été fait mais nul besoin pour être convaincu. Evidemment, tous ont eu le coryza, ont été soignés et s'en sont bien guéris, tous ont été stérilisés, la plupart ont toujours de la diarrhée, mais à ce jour aucun n'a déclaré de Pif.... Cela porte à réfléchir sur l'incidence du "stress" vaccinal dans l'activation ou l'exacerbation des coronavirus et du déclanchement de la Pif ?????